Beaucoup de liens dans cette nouvelle fournée de bookmarks Delicious... beaucoup de sujets aussi: du fast-food à la télé connectée, en passant par les appli mobiles, la guerre du café, ou la stratégie social media de Castorama, pas beaucoup de rapport. Mais c'est la magie du web et de la serendipité :)
La première marque à avoir dégainé en France est Haribo. Conseillée par l'agence KR Media, elle a sorti son spot à l'été 2009. Mais a surtout profité du formidable succès d'Avatar. Le "40 secondes" a fait mouche, parfois plus que le long métrage de James Cameron. Nombre de téléspectateurs ont évoqué l'envol des bonbons gélifiés dans la salle presque à portée de main ou de bouche.
As if drubbing the hamburger competition wasn't enough, McDonald's selected a number of non-carbonated beverage opportunities built up by a handful of chains and has built respectable facsimiles of all of them. Now armed with everything from lattes to smoothies, McDonald's is ready to fight for a bigger piece of the $153 billion U.S. beverage market. In addition to quality products, McDonald's boasts 14,000 locations and $1.2 billion in U.S. advertising spending, as estimated by Ad Age.
Ainsi, la RATP avait mis deux ans à développer pour ses usagers une première application, utilisant le protocole WAP. Bilan, deux ans de travail. Pour la génération suivante, fonctionnant sur l'iPhone, il fallait aller plus vite. Un partenariat a été établi avec Faber Novel qui a développé l'application à ses frais. En échange la société a encaissé les revenus liés à la version premium, vendue 0,79 euro. Puis, au-delà d'un certain volume, les revenus ont été partagés avec la RATP. Des versions pour l'iPad et les « smartphones » Android ont été lancées la semaine dernière.
Après la vogue des web-documentaires, la web-fiction, déjà confirmée au Québec, pourrait bien devenir le nouveau format en vogue, au point que même les chaînes de télé et boîtes de production classiques commencent à le tester.
Réalisée par Riad Sattouf (connu entre autres pour son film Les beaux gosses), cette série raconte le quotidien de Simon, Mustapha, Valentine et Sasha, qui partagent le même appartement. Depuis la mise en ligne début mai, les vidéos de ces quatre jeunes gens comptent déjà 6 millions de visionnages sur le net. Pas étonnant, donc, que BNP ait décidé de profiter de ce succès pour lancer une campagne sur cette même thématique.
En dehors de ces voies visant à faire payer les entreprises, on peut se demander si Twitter n'aurait pas intérêt à explorer d'autres voies. Voici quelques propositions dont certains se font l'écho mais sur lesquelles je reste sceptique
Si l'intérêt des fournisseurs et éditeurs de contenus à figurer sur la page d'accueil d'un écran TV semble évident, celui des fabricants d'écran l'est tout autant. Pour Alexandre Fourmond, directeur marketing produits de la division Home Entertainment de LG: « Ce ne sont pas uniquement les détenteurs de contenus qui sont intéressés, mais également les industriels ». Constat identique pour Laurent Mocquet : « Le fabricant d'écrans connectés devient apporteur d'affaires ». En revanche, cette évolution pourrait venir assombrir l'avenir des distributeurs. D'une façon générale, tous les diffuseurs de contenus, câblo-opérateurs, opérateur satellite ou opérateurs télécoms ayant développé une stratégie de contenus risquent de voir leur modèle économique remis en question.
La révolution des médias sociaux est devenue une réalité et les entreprises veulent profiter de cette audience quasi gratuite à leur disposition. Mais le problème est que la plupart des marques sautent dans le train sans mettre en place de véritables stratégies de mesure d'efficacité. Quelque fois ce sont même de mauvais indicateurs qui sont pris en compte. Par exemple est-il pertinent d'évaluer le succès d'une campagne sur Facebook par le nombre de Fans d'une page ? Ou encore de followers sur Twitter ?
Pour gagner des points et l'attention des internautes et surtout tirer profit de Facebook quelques "best practices" : - Inventer un vrai service autour de facebook, réservation de qqc, contact direct, streaming vidéo, … - Produire des contenus exclusifs, du making of, … - Etre présent au jour le jour, interagir, interpeller, répondre, relancer, proposer, co-construire, … - Donner une raison de revenir et d'utiliser la page fan ( 1er point d'un brief Facebook ) - Intégrer la dynamique Facebook au coeur du site et de la relation online et pas seulement comme un n-ième outil de com - Donner une dimension ludique au dispositif, Facebook est avant tout une grande cour de récréation.
Le marché du «nettoyage du net» pour les particuliers reste peu développé en France. A notre connaissance, seules deux start-up, Reputation Squad et Les Infostratèges, proposent leurs services aux anonymes. (Le marché des entreprises est beaucoup plus développé car infiniment plus lucratif.) Albéric Guigou est le fondateur de Reputation Squad. À force de traiter des cas de diffamation, d'insultes et de divulgation de photos intimes, il a acq uis une certitude: Google fait la part belle aux contenus négatifs sur la première page de réponse d'un individu. «On peut l'expliquer de deux manières: soit le moteur de recherche récompense dans son algorithme les contenus négatifs en les faisant remonter, soit il cherche à panacher la première page de requête, allant chercher des contenus au champ sémantique différent, ce qui est souvent le cas des contenus gênants.»
Pour faire «briller» sa dernière exposition baptisée «Treasure», Science World avec l'aide de son agence, Rethink Canada a misé sur le «clinquant». Il y a un mois apparaissait dans la ville de Vancouver, un panneau de 18.5 mètres carrés recouvert d'une pellicule d'or. D'une valeur de 11 000 dollars, l'œuvre unique, selon Rethink, était composée d'or fin à 22 carats. On pouvait y lire: «56 grammes d'or peuvent recouvrir ce panneau», avec à coté le logo Science World et la baseline: «on peut vous expliquer».
L'avenir du e-commerce passe-t-il par le social shopping ? Selon deux études récemment publiées, les médias sociaux sur internet auraient une influence croissante sur le comportement des consommateurs. Sites comparatifs, forums de discussions, réseaux sociaux comme Facebook : le « social shopping » ou achat collaboratif, est devenue une habitude de consommation bien ancrée chez les internautes, qui se fient de plus en plus aux avis de la communauté pour fonder leur décision d'achat. Face à cette tendance, les e-commerçants s'adaptent peu à peu, en ajoutant une aspect « communautaire » à leur stratégie marketing. Le social shopping : une aubaine également pour les commerces de proximité qui bénéficient de nouveaux espaces de ventes locales dédiés à l'achat collaboratif, à l'image du site « ClubDeal ».
"Nous avons engagé des procédures judiciaires contre Sara Lee pour violation flagrante de notre système de café Nespresso", a affirmé dans un communiqué Nestlé, qui a refusé de préciser sur quel point portait l'action en justice "en raison de la procédure légale en cours".
D'autres entreprises françaises lorgnent ce marché, comme Edit-Place qui a des pigistes en Inde, en Argentine et en France. Certains salariés de Cellcast Media sont, eux, basés à l'île Maurice. Le créneau est prometteur. Il faut dire que les fermes de contenus ont déjà fait le bonheur de leurs créateurs outre-Atlantique : Associated Content a été cédé pour près de 100 millions de dollars à Yahoo!, et Demand Media prépare son introduction en Bourse (valorisation attendue : 1,5 milliard de dollars !). Il va sans dire que les contributeurs, eux, ne touchent rien.
Interesting. Sony and other makers of Internet-connected TVs are counting on advertising as a revenue stream, according to Bloomberg. "Grabbing a share of that advertising revenue is the ultimate goal of TV manufacturers. Samsung says it plans to introduce an on-screen virtual storefront of applications for shopping, games, and other activities that would allow advertisers to reach customers on its TVs, Blu-ray players, PCs, and cell phones." I call it the appstorization of everyday things.
tout juste 33 ans, Pierre Kosciusko-Morizet, cofondateur et PDG de PriceMinister est multimillionnaire. A 8h 50, jeudi 17 juin, très exactement sa fortune personnelle a gonflé de quelque 40 millions d'euros, au moment où s'est finalisée la vente de l'intégralité de sa société, dont il détient un peu moins de 20 %, au groupe japonais Rakuten pour la coquette somme de... 200 millions d'euros."Je suis très, très content. C'est un bouleversement mais aussi une opportunité exceptionnelle qu'il fallait saisir", commente le frère cadet de la secrétaire d'Etat à la prospective et au développement de l'économie numérique. Suite à cette transaction ce dernier restera PDG du groupe pendant au moins cinq ans, en charge de développer les activités de Rakuten en Europe. Ensuite"on verra", indique le jeune patron.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire