Lire la suite sur le blog de Cédric Deniaud“Savoir collaborer, partager ses connaissances et les valoriser font aujourd'hui partie de véritables compétences requises. L'employé est un être humain apprenant continuellement et devant à chaque moment remettre en cause son mode de fonctionnement pour s'adapter aux évolutions de son environnement de travail. Les outils de collaboration doivent l'aider dans cette démarche : les outils doivent alors ressentis comme une aide, un support, une opportunité plutôt que comme une menace ou un frein. L'adoption d'un outil de collaboration implique donc sa nécessaire compréhension qui doit passer par l'accompagnement au changement.”
- Job 2.0
Lire la suite sur le blog de Communispace“I interviewed at quite a few places as part of my post-grad job search. But when I first walked into this building, I knew it was the place I wanted to work. The place I HAD to work: bright colors, open work spaces, smiling employees, craftily named conference rooms, a foosball table… not to mention the flexible work schedule and a staff I can only describe as the most creative, energetic, adventurous group of people I’ve ever met”
- Utiliser Facebook sur son lieu de travail?
En voir plus sur le blog de l’Actu en Patate
- Internet au travail, les entreprises serrent la vis
Lire la suite sur LeFigaro.fr«L'Internet est entré dans les mœurs. Les entreprises cherchent comment reprendre le contrôle. Nous allons probablement vers des autorisations plus spécifiques, en fonction des missions, du secteur.» Un tiers des patrons voudraient verrouiller leur Internet, un autre mieux le contrôler, à en croire un sondage réalisé par Sophos. Seuls 30 % des patrons ne s'inquiètent pas d'un Internet libre. En face, les jeunes salariés n'envisagent pas d'être privés de Facebook. Selon la société de services informatiques Telindus, un tiers des 18-24 ans assurent tout simplement qu'ils démissionneraient.
- De l’intérêt de ne pas façonner la génération Y
Lire la suite sur le blog de Fred Cavazza“Faut-il réellement les intégrer ? Non je ne pense pas. Ça serait là justement le meilleur moyen de gâcher le potentiel disruptif qui sommeille en eux. “Qui sommeille” ? Oui car l’arrivée en entreprise est un gros choc culturel et qu’il est très facile de gommer ces fameuses différences et de les faire renter dans le moule (Lotus Notes, MS Project, réunion du lundi matin, respect de la chaine de commandement et de la hiérarchie…). Mais c’est là tout l’enjeu de cette “non-intégration” : ne pas les façonner à la sacro-sainte culture d’entreprise mais exploiter plutôt leur candeur pour remettre en cause l’existant et trouver des pistes d’amélioration dans des directions que les plus anciens n’osent plus emprunter. Les américains appellent ça “thinking outside the box“, et nous allons en avoir dramatiquement besoin car les entreprise françaises ne sont pas un modèle de compétitivité dans le monde.”
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire