Ceux qui me connaissent savent que je suis un fan absolu de Netvibes, le service, gratuit et sans pub, qui propose une page entièrement personnalisable, grâce à des onglets, des flux RSS et une tonne de widgets plus ou moins indispensables. Grâce à ma page Netvibes et avec mes 10 onglets, je peux suivre littéralement un demi-millier de sources d'informations, mises à jour en continu. Le service a été fondé en 2005 par des Français et en quelques années, il a réussi à s'implanter à coté des géants Google, MSN ou Yahoo qui proposent leurs propres services.
Seulement voilà, la dernière levée de fond remonte à août 2006 et depuis, les sources de revenus semblent plutôt maigres. Ajoutez à cela une interruption de service de plus, et le blog ReadWriteWeb publie un article alarmant qui agite la blogosphère et Twitter. Tant et si bien que l'équipe de Netvibes se sent obligé de rassurer tout le monde par un article sur son blog: Netvibes va bien, les dépenses ont été réduites (au détriment de la qualité du service?) et les revenus s'accroissent régulièrement. Depuis, RWW est revenu en arrière, sans toutefois se montrer très optimiste.
En fait, Netvibes se trouve aujourd'hui dans la même situation que Facebook (toute proportion gardée): il faut maintenant rentabiliser un service offert gratuitement aux internautes, en monétisant la base d'utilisateurs. Seulement, n'est pas Google qui veut.
La stratégie de Netvibes est orientée vers les entreprises et les marques: conception de micro-sites, de portails intranets, de widgets ou de portails de site média (exemple avec lefigaro.fr)... les idées ne manquent pas. Les avantages pour les annonceurs: les utilisateurs ont la possibilité d'interagir directement avec la page, beaucoup plus souple qu'une page internet classique.
Espérons que cette stratégie soit payante, parce que je ne peux imaginer me passer de Netvibes.
(à propos, ma page publique est ici)
A noter: l'utilisation très efficace que fait Netvibes de Twitter, pour répondre en temps réel à tous les problèmes et questions des usagers.
En fait, Netvibes se trouve aujourd'hui dans la même situation que Facebook (toute proportion gardée): il faut maintenant rentabiliser un service offert gratuitement aux internautes, en monétisant la base d'utilisateurs. Seulement, n'est pas Google qui veut.
La stratégie de Netvibes est orientée vers les entreprises et les marques: conception de micro-sites, de portails intranets, de widgets ou de portails de site média (exemple avec lefigaro.fr)... les idées ne manquent pas. Les avantages pour les annonceurs: les utilisateurs ont la possibilité d'interagir directement avec la page, beaucoup plus souple qu'une page internet classique.
Espérons que cette stratégie soit payante, parce que je ne peux imaginer me passer de Netvibes.
(à propos, ma page publique est ici)
A noter: l'utilisation très efficace que fait Netvibes de Twitter, pour répondre en temps réel à tous les problèmes et questions des usagers.
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