31 janv. 2011

Réalité Augmentée et Digital Signage au flagship Citroën

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J’aime bien aller faire un tour de temps en temps au flagship Citroën sur les Champs (cf. ma dernière visite). D’abord parce que c’est un espace de calme à coté de l’agitation de l’avenue (et oui, c’est toujours quasi vide…) et ensuite parce qu’on y fait toujours des découvertes sympa.

En ce moment, c’est la Citroën Re-volt qui est à l’honneur (après la “Sur-Volt” l’été dernier). Je ne suis pas fan…

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Mais le principal centre d’intérêt du flagship, c’est l’intégration du digital à l’espace de présentation. En montant les escaliers, ce qui frappe, c’est ce vaste mur d’écrans :

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A chaque étage, des vitrines tactiles ont été installées pour compléter les informations sur les modèles exposés, via des vidéos notamment.

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Le plus impressionnant ? Les bornes de réalité augmentée, grâce auxquelles un simple bout de papier se transforme en volant pour piloter une DS3.

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Réalité Augmentée, bornes tactiles, murs d’écrans : à quand une généralisation sur les points de vente ?

30 janv. 2011

Le site du week-end (Nothing)

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Le concept du site du week end est ultra-simple, presque aussi simple que la “one million dollars homepage”. Normal, il s’agit du même créateur. Avec “donothingfor2minutes”, le but est de se relaxer. Et comme son nom l’indique, de ne rien faire pendant 2 minutes. Gare à vous si vous bougez la souris pendant ce laps de temps. C’est un concept bête comme tout, mais ça permet de s’évader – un peu – du stress technologique.

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29 janv. 2011

Random acts of Kindness : sincérité ou hypocrisie ?

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De plus en plus de marques tentent de s’humaniser pour renforcer leur proximité avec leurs clients… Les “petits gestes” gratuits se multiplient. Quelques exemples en vrac : KLM qui fait des surprises à ses passagers, Orange UK qui distribue des chocolats chauds à domicile, Interflora qui distribue des fleurs via Twitter…

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Simple opération marketing ou vrai sincérité ? Au delà de ces petits riens ponctuels et aléatoires destinés à faire du buzz (mais qui  signifient beaucoup pour ceux qui en bénéficient), cette “kindness” doit s’inscrire dans la durée, comme un véritable engagement de la marque. Exemple de cette constance : KLM offre depuis 58 ans (!!) des maisons en porcelaine à ses passagers de la classe Affaire : ce sont devenu des objets de collection et des sites entiers leur sont dédiés. Il y a même une application iPhone. Dans la téléphonie, Virgin Mobile appelle ses clients par leurs prénoms, en cohérence avec le positionnement de la marque.

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Mais celui qui a fait de la “kindness” le cœur de son positionnement, c’est Zappos, le leader du e-commerce de chaussures aux USA. Parmi les petits gestes : la livraison express par surprise, pour que vous receviez votre colis le lendemain de la commande est poussiez un “WOW” d’étonnement. Ou encore un service client attentionné, à l’écoute, qui vous envoie des fleurs en cas de deuil ou n’hésite pas à vous orienter vers les concurrents si la paire de chaussures de vos rêves n’est plus en stock. Certaines marques françaises ont des leçons à prendre !

24 janv. 2011

Food+Design = performance surréaliste

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Ce week end avait lieu à Paris l’évènement “Paris des chefs”. Le concept : associer un grand chef à un artiste, architecte, designer, photographe ou autre. A chaque binôme la charge de réinterpréter le thème de la session, “le visible et l’invisible”.

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C’est ainsi que je me suis retrouvé à assister à un séance de cuisine surréaliste, avec le cuisinier estonien Peeter Pihel et la créatrice de bijoux à tendance gothique Kadri Mälk. Imaginez donc le chef scandinave en train de cuisiner, expliquant dans un anglais hésitant son travail, pendant que la créatrice, peu bavarde, navigue autour de lui avec une sorte de peigne chamane. Ajoutez deux animateurs, dont un portant un des “bijoux” SM de la créatrice, qui essayent de commenter le tout, moitié en Français, moitié en anglais.

Pour compléter le tableau, il faut préciser que Peeter Pihel a une manière bien particulière de cuisiner, mélangeant charbon, sang, épines de pin et “foin”… Je n’ai malheureusement pas pris en photo la scène digne de True Blood où il se saisi d’une poche de sang (animal, on l’ose l’espérer), pour en faire de la “blood cream”… Une vraie performance, au sens de l’art contemporain.

Le résultat : quelques légumes et la fameuse “blood cream” disposés dans une rondelle d’arbre découpée en assiette. Rustique, certes, mais artistique, surement.

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PS : merci @edouardborie et à l’agence 14septembre pour l’invitation.

21 janv. 2011

Paiement par mobile, on en est où ?

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Les ventes de smartphones explosent et avec ces téléphones intelligents et connectés, de nouveaux usages apparaissent sans cesse. Tagging, géolocalisation et applications en sont les meilleurs exemples.  Un autre usage devrait se répendre dans les années qui viennent : le paiement par mobile. Plus besoin de porte-monnaie ou de carte bancaire, c’est le portable qui sert de moyen de paiement, via une technologie que l'on appelle NFC.

Si la pratique est déjà courante au Japon, pour l’instant, les banques françaises regardent tout ça avec prudence. Une première expérimentation a bien été menée à Nice, mais son succès est contesté. Pour prendre de l’avance, le Crédit Mutuel/CIC s’est aussi lancé dans la téléphonie en rachetant NRJ Mobile. Mais toujours pas d’annonce concrète pour le moment, tant les discussions entre opérateurs télécoms, banques et constructeurs semblent complexes.

Et si les avancées venaient plutôt des distributeurs ? Aux Etats-Unis, Starbucks permet déjà de payer son latte directement depuis son mobile : le service est disponible depuis quelques jours dans 6800 points de ventes. Il ne s'agit pas de NFC, mais d'une technique plutôt maligne :  on recharge sa "carte" virtuelle via paypal ou CB et on paye en scannant en caisse le QR code généré par son mobile.

En France, curieusement, le pionnier est Franprix, avec sa carte de fidélité dématérialisée. Il n’est pas encore question de paiement, mais grace à une application, le client peut choisir ses coupons de réduction ; lors du passage en caisse, il ne reste plus qu’à présenter son mobile sur le terminal et la réduction est directement décomptée sur le ticket de caisse. Combien de temps faudra-t-il attendre avant de voir ce genre de pratiques se généraliser, afin de nous simplifier la vie ? 2 ans ? 5 ans ? 10 ans ?


16 janv. 2011

Acheter sur laRedoute.fr et repartir avec de l’argent virtuel…

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… c’est ce que va proposer le site d’e-commerce pour récompenser et fidéliser ses clients. La Redoute vient de passer un accord avec la start-up franco-américaine IFeelGoods. Le concept est le suivant : pour inciter à passer commande, souscrire à la newsletter ou devenir fan d’une page Facebook (par exemple) le site offrira des credits Facebook, permettant d’acheter des biens virtuels dans les jeux de type Farmville, CityVille et autres

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Cette offre est vraiment innovante et étonnante de la part du VPCiste. Reste à savoir si les client(e)s de la Redoute seront intéressé(e)s par une telle offre. A priori, la clientèle de la Redoute a peu de points communs avec les accros des social games sur Facebook…

Et pourtant ! D’après un sondage auprès des internautes américains et britanniques, l'âge moyen du joueur sur Facebook est… 43 ans. Et il s’agit majoritairement de femmes. Je ne sais pas trop ce que la même enquête donnerait en France, mais à la louche, c’est donc bien le cœur de cible de la Redoute.

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Les partenariats de ce type sont aussi un bon moyen pour les éditeurs de jeux comme Zynga ou Playfish de recruter de nouveaux joueurs. Un partenariat gagnant-gagnant donc entre e-commerce et jeux sociaux. Le premier d’une longue série et une preuve de plus de l’engouement autour du social gaming, l’une des grandes tendances 2011 !

15 janv. 2011

Le site du week end (pour les accros du check in)

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Pour 2011, j’essaye de reprendre la bonne habitude des “sites du week end”. Le concept : un site nouveau, original, découvert au hasard de mon surf de la semaine. Parmi mes “sites du week end” de 2010 : Groupon, Super Marmite, Tribalista, ou Wonderwall pour ne citer qu’eux.

Ce week-end, c’est donc au tour de Get Glue, un réseau social basé sur le divertissement. Pour se créer un profil, c’est ultra simple, il suffit de se connecter via Twitter ou Facebook. Ensuite, il ne reste plus qu’à “liker” les films, albums, livres que l’on aime. Le site en suggère de nouveaux en permanence et vous met en contact avec des gens ayant les mêmes gouts. C’est un peu ce que font déjà depuis longtemps Amazon ou Allociné avec leurs recommandations.

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Là ou Get Glue va plus loin, c’est en intégrant le “check in”, popularisé par Foursquare, notamment. Vous écoutez de la musique, regardez une série ou lisez un livre ? Dites-le au monde entier ! Ces check-in permettent ensuite de gagner des stickers et des récompenses.

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Les géants américains de l’entertainment s’intéressent de prêt à ce site, qui leur permet de repérer les fans de leurs programmes. Get Glue a levé 6 millions de dollars et passé 25 accords avec des producteurs de contenus. A l’avenir, le check-in pourra se faire directement depuis sa télé !

9 janv. 2011

Samsung Mobilers : l’heure du bilan

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Depuis septembre dernier, je fais parti de l’équipe des “Mobilers” Samsung, j’en ai déjà beaucoup parlé. L’aventure s’est achevée ce week-end pour l’équipe 2010.

Le concept en deux mots : à travers le monde, Samsung recrute de jeunes (ou moins jeunes) ambassadeurs qui testent les téléphones de la marque et partagent leur avis et leurs expériences avec. En France, c’est via une page Facebook que s’effectue l’opération.

Des évènements viennent ponctuer l’expérience : soirée d’inauguration, week-end à Cannes, soirée de gala, etc. Les 20 participants ont ainsi pu faire connaissance avec les équipes de Samsung, découvrir les nouveautés et surtout, la partie la plus intéressante je pense, échanger entre eux. Pour moi, l’expérience a été véritablement enrichissante, et je ne parle pas seulement des cadeaux reçus ! En quelques mois, un “esprit” Mobilers s’est créé au sein du noyau dur des plus motivés.

Vous pouvez retrouver mes contributions ici, et la page Facebook ici (pour postuler à la prochaine édition!)

Espérons que l’expérience soit reconduite à l’avenir et que l’esprit des pionniers se maintienne!

8 janv. 2011

Galaxy Tab, ou le jour où j’ai failli payer pour du contenu

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Depuis un mois, j’ai la chance de tester le dernier joujou de Samsung, la Galaxy Tab. J’étais (et je reste) très enthousiaste pour cette tablette pleine de promesses, destinée à marcher sur les plates-bandes de l’iPad.

(Attention cependant, les deux tablettes concurrentes sont très différentes. Alors que l’iPad est plutôt destiné au salon, Samsung a tout misé sur la mobilité, avec un appareil compact, à écran 7 pouces. La Tab tient dans une seule main, et ça fait toute la différence.)

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A l’origine, j’imaginais utiliser la Tab pour consommer des contenus, notamment des magazines. Et comme qualité et gratuité ne vont pas souvent de pair, j’étais même prêt à payer un abonnement mensuel au kiosque Relay. Tout naturellement, je pensais que je pourrais écrire un jour l’article : “Galaxy Tab, ou le jour où j’ai payé pour du contenu”.

Mais au fil du temps, je me suis rendu compte que la Galaxy Tab était destinée à d’autres usages, mes expériences avec les fournisseurs de contenus payants ayant été assez mitigées.

Pour les films, l’application VOD installée sur la Tab est produite par Vidéo Future. Sans même parler du prix ou du choix en catalogue, je n’ai pas réussi à faire fonctionner l’application pour visionner mes deux films offerts. J’ai rapidement abandonné. Pourtant, on ne peut pas dire que je suis un newbie en matière de techno.

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Pour les magazines, l’application Relay est tout simplement inutilisable dans la plupart des situations. A moins d’avoir une puce 3G, il n’est pas possible de l’utiliser en mobilité. Et encore, oubliez le métro et sa connexion chaotique : dans la version actuelle de l’application, il faut être en ligne pour consulter les magazines, il n’est pas possible de les télécharger. Une aberration. Une autre application, Zinio, permet de consulter des magazines en les téléchargeant, mais là, c’est le choix qui fait cruellement défaut.

Conclusion : il est à l’heure actuelle plus simple de pirater un film et de le transférer sur la Galaxy Tab que de le télécharger via une offre légale. Pour les magazines, l’expérience utilisateur proposée par Relay est catastrophique, il vaut mieux se diriger vers les applications ou les sites mobiles des éditeurs de contenus.

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Au quotidien, la Galaxy Tab se révèle donc excellente pour profiter de contenus gratuits : surfer, écouter la radio, visionner des vidéos sur Youtube, chatter sur Facebook, consulter ses réseaux sociaux, etc. Mais l’offre payante de qualité est encore embryonnaire. En espérant qu’un article comme celui-ci puisse booster les équipes de Relay (ou d’autres éditeurs/distributeurs) car le besoin et la demande sont bien là!

4 janv. 2011

7 tendances à suivre en 2011

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Avec la nouvelle année, c’est le moment des rétrospectives de 2010, mais surtout des prévisions pour 2011. Le site américain Mashable en a ainsi produit plus de 95… (OMG!) J’ai tout lu et j’en ai retiré 7 tendances qu’il me semble intéressantes à surveiller dans l’année qui vient.

- Le photo-sharing et le video-sharing “on the go”

Avec les smartphones, il est devenu ultra-simple de partager des photos en mobilité. Des applications comme PicPlz ou Instagram sont devenues rapidement populaires en 2010. En seulement 10 jours, Instagram a attiré 1 million d’utilisateurs. D’autres applications comme Foodspotting, DailyBooth ou Path se sont aussi lancées sur ce créneau très porteur. Foursquare vient d’ailleurs d’intégrer les photos à ses applications mobiles.

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Avec les nouvelles normes de compression et l’apparition de la 4G aux Etats-Unis, il va devenir aussi facile de partager des vidéos que des photos.

- La segmentation des réseaux sociaux

Parce qu’avoir 500+ amis sur Facebook a fait perdre le sens du mot « ami », les nouveaux réseaux sociaux s’adressent à des communautés bien plus petites, plus ciblées, pour proposer des interactions plus simples et plus efficaces. Par exemple, le réseau Path permet de limiter son réseau à 50 contacts. Sur iPhone, Fast Society permet de créer des réseaux sociaux éphémères (3 jours) pour échanger des messages au sein de petits groupes de personnes. Je reste quand même dubitatif sur cette tendance, qui s’adresse, à mon sens, à une niche.

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Mais Facebook a compris ce besoin de segmentation : avec sa nouvelle version des « Groupes », qui permet de sélectionner un nombre limité de contacts, le site permet de  n’échanger qu’avec une partie de ses amis, collègues ou membres de sa famille, notamment via un chat collectif.

- Les entreprises « mobile first » ou « tablet only »

Avec la démocratisation des smartphones et le lancement des tablettes, le mobile est devenu un media à part entière. Pas étonnant de voir arriver des business entièrement dédiés à des usages mobiles. J’ai déjà parlé de The Daily, le projet de Murdoch sur iPad. Depuis, Richard Branson a présenté le sien. D’autres projets devraient voir le jour, et pas seulement dans le domaine des médias.

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De plus en plus d’entreprises, médias ou non, devraient se lancer sur le mobile avant même d’être sur le web. Parmi les atouts du mobile : sa proximité avec l’utilisateur, les possibilités de personnalisation, la géolocalisation ou encore les possibilités de micro-paiement. Dans le même esprit, les services de géolocalisation ou de geotagging, qui n’ont de sens que sur le mobile, vont continuer à se développer et devenir de plus en plus utiles (en vertu de la fameuse loi de Metcalfe).

- Une nouvelle génération de publicité locale

Avec la géolocalisation permise par les smartphones et le boom de Foursquare ou Gowalla, la publicité locale entre dans une nouvelle dimension, ultra-ciblée, adaptée aux gouts et habitudes de chacun. En associant géolocalisation et social graph avec Places (« Lieux » en Français), Facebook pourrait aller très loin. Google est aussi sur les rangs pour récupérer une part de ce gâteau. D’autres acteurs, comme Yelp, Shopkick, Qype ou même PagesJaunes peuvent jouer les challengers. Quant à Groupon, si son fonctionnement repose principalement sur l’email, il a bâti en un temps record une impressionnante force commerciale sur le terrain qui pourrait lui donner un avantage certains dans ce domaine.

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L’avenir : le couponing géolocalisé au mètre près dans les rayons des supermarchés. La start-up Point Inside est en train de développer le concept.

- QR Code et Tagging pour connecter monde physique et monde digital

Toujours grâce au mobile, les QR Code devraient s’imposer dans le quotidien de tout à chacun. Les QR codes permettent de lier un objet physique (affiche, packaging…) à un contenu numérique (clip, site internet,…) : c’est le pont entre le online et le offline. Tous les objets peuvent être tagués, comme on tague des amis ou des lieux sur une photo ou un statut. Barcode Hero ou Stickybits permettent ainsi à tous de donner son avis et d’ajouter un contenu à des objets du monde réel.

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Problème : en France, deux formats concurrents de QR codes se partagent le marché, ce qui a ralenti son adoption par les annonceurs et les consommateurs et pourrait même empêcher cette technologie de décoller.

Mais après les QR codes, l’avenir est à la reconnaissance d’image. Google Goggles a ouvert la voie. Ambitieuse, l’application iPhone (française !) Moodstocks ambitionne même de créer une base de données d’objets, que chacun peut commenter et partager.

- Toujours plus de ludique et de check in

Le gaming a été la grande tendance de 2010, on l’a vu au Web10 en décembre dernier. Les services de check-in se sont popularisés, sur le principe du « si tu me dis où tu es/ce que tu fais, tu auras une récompense » (badge, réduction…). Aux Etats-Unis, GetGlue a levé 6 millions de dollars   pour proposer une nouvelle expérience de « connexion » entre les individus et les contenus. Concrètement, vous dites quels films ou série vous regardez et vous recevez une récompense, grâce aux 25 accords passés entre GetGlue et des acteurs de l’entertainment. A l’avenir, les box des FAI permettront d’effectuer automatiquement le check-in.

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En 2011, les marques et les entreprises vont toujours plus s’investir dans ces logiques de « gamification », comme moyen de générer de l’engagement et se rapprocher de leurs cibles.

- Le retour de l’email

Qui l’eu cru ? L’email revient en force. Un acteur comme Groupon a montré tout l’intérêt d’acquérir une base d’adresses email, vs. des fans sur Facebook. Avec une base de 15 millions d’adresses aux USA (et 30+ millions si l’on ajoute l’international), Groupon a pu atteindre une valorisation record de plus de 6 milliards de dollars. En France, un acteur comme MyLittleParis (qui a lancé sa version masculine Merci Alfred en septembre dernier) a montré comment, en apportant une vraie valeur à l’emailing, ce média pouvait encore toucher les internautes (cf. mon article ici).

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Mieux qu’une page avec des fans sur-sollicités, une base d’adresse emails peut se révéler très profitable, à condition de bien qualifier ses contacts et d’apporter un vrai intérêt au client : l’emailing pourrait revenir en force face au social marketing.

 

Voilà pour les prévisions pour 2011… Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne année et à se donner rendez-vous dans un an pour voir si j’étais totalement à coté de la plaque Sourire